J’aurais préféré ne jamais te connaître
Dès que tu t’es présenté, je ne t’ai pas aimé
Ni moi ni les autres
Mais tu t’es tout de même collé à nous
Nous nous sommes cachés, protégés
On nous a confinés et masqués
Mais tu es tout de même parvenu à entrer et à frapper
Tu nous maintiens encore maintenant dans la peur
Encore plus éloignés les uns des autres
Notre nouvelle devise : craignons-nous les uns les autres
Tu es allée trop loin, tu as commis l’impardonnable
Lâche, tu t’es attaqué aux plus vulnérables et à nos aînés
Que tu as muselés à jamais sans qu’on puisse même leur dire au revoir
Tu peux partir, salopard. Va-t’en.