Stéphane Rousseau
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« J’étais ému, j’avais la frousse, j’étais installé dans mon lit et je trouvais ça surréaliste. » C’est ainsi que s’est senti Stéphane Rousseau la première fois qu’il a tenu entre ses mains son livre autobiographique : Famille royale. Rencontré dans un bâtiment du centre-ville qui héberge KO Éditions, l’auteur, humoriste et artiste multidisciplinaire, discute de son écriture et partage sans filtre sa vulnérabilité, autour de sa carrière, de son autobiographie et de ce qui remplit sa vie.
Les vraies affaires
Vous arrivez dans un lieu où vous trouvez du monde pas porté sur le paraître, mais plutôt sur l’être, et parfois même en état de survie. Difficile donc de parler d’autre chose que des «vraies affaires» quand vous êtes en présence d’une personne qui a connu la rue, la marginalité et la vulnérabilité sociale et économique.
Lire l'articleStéphane Rousseau : Rupture de ton
« J’étais ému, j’avais la frousse, j’étais installé dans mon lit et je trouvais ça surréaliste. » C’est ainsi que s’est senti Stéphane Rousseau la première fois qu’il a tenu entre ses mains son livre autobiographique : Famille royale.
Lire l'articleNancy Audet tend la main aux jeunes
« Je ferais même le ménage de votre bureau », a-t-elle lancé à la directrice. Cette dernière, intriguée, lui a demandé: « mais pourquoi veux-tu tant t’impliquer ? » Ce à quoi Nancy Audet a répondu: « Parce que je suis passée par là. »
Lire l'articleBienveillance et résilience dans le hood
Ils en ont vu des choses, ces enfants des HLM qui sont aux premières loges de ce que peut engendrer la pauvreté : violence, surdoses, prostitution non dissumulée. Et plusieurs d'entre eux s’élèvent au-dessus de la mêlée grâce à des gens qui se soucient d’eux. Rencontre avec un intervenant enfance-famille.
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