Le soutien social dans le rétablissement de maladies mentales graves, telles que la schizophrénie, est la clé de voûte pour une guérison efficace, estime Rob Whitley, chercheur en psychiatrie sociale à l’Institut universitaire en santé mentale Douglas et professeur adjoint à l’Université McGill. Notre journaliste a rencontré celui qui s’intéresse particulièrement aux injustices vécues par ces personnes. Dans une entrevue questions-réponses, le psychiatre explique comment les symptômes négatifs, dont la dépression et l’exclusion sociale, font que la personne atteinte de maladie mentale a besoin d’espoir par le biais d’un environnement social, qu’il soit professionnel, familial ou amical.
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