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Sans surprise, la pandémie est au banc des accusés des maux des jeunes. Une situation alarmante sondée au premier trimestre 2022 par l’Université de Sherbrooke, qui révélait que 50% des jeunes âgés de 16 ans et plus présentaient un mal-être psychologique.
Et cette réalité s’accentue; à la même vitesse que défilent les mauvaises nouvelles: urgence environnementale, crise du logement, inflation, sans oublier la guerre en Ukraine. De quoi balayer les derniers clichés d’une jeunesse soi-disant nombriliste, mais surtout de tirer la sonnette d’alarme sur l’importance des ressources qui écoutent et épaulent les jeunes vers un meilleur équilibre mental.