Dans cette édition du magazine, on retrouve une bonne diversité de sujets. De la chronique Dans l’actualité qui traite du site satirique Org stru co à notre dossier sur les aliments en danger d’extinction, en passant par une conversation des plus intéressantes avec l’auteur-compositeur-interprète innu Florent Vollant, le contenu varié saura intéresser nos lecteurs et lectrices qui sont tout aussi diversifiés.
On n’a pas l’occasion de faire des sondages auprès de notre lectorat de façon régulière, mais plusieurs d’entre vous prenez le temps de nous écrire pour nous dire ce que vous pensez. Et on aime ça !
Dans le passé, nous vous avons demandé ce que vous aimiez lire et ce que vous souhaiteriez voir dans les pages de L’Itinéraire. Et nous vous avons écoutés. Outre les enjeux qui nous concernent, dont l’itinérance, le logement, la pauvreté et la justice sociale, vous nous avez demandé d’inclure des sujets plus légers.
Par exemple, vous vouliez voir plus d’humour dans le magazine. D’où notre chronique C’t’encore drôle rédigée dans chaque édition par des humoristes professionnels.
Vous nous avez par ailleurs signifié que le contenu et l’apparence du magazine s’étaient grandement améliorés depuis quelques années. Et nous en sommes fiers !
Mais ce dont nous sommes le plus fiers, mis à part la passion et le talent de nos journalistes, c’est l’apport de nos camelots et participants aux programmes d’employabilité dans l’élaboration du contenu du magazine.
Cela fait maintenant 28 ans que nous misons sur l’écriture comme outil de réinsertion sociale et d’autonomisation auprès des personnes vulnérables et marginalisées qui fréquentent notre organisme. Et nous sommes à même de voir à quel point la rédaction et la participation à l’activité journalistique portent leurs fruits auprès de nos camelots et participant.es. C’est un énorme boost à l’estime de soi et une grande source de fierté.
Autre raison d’être fier, nous comptons de plus en plus de collaborations régulières de leur part. Les chroniques récurrentes : En toute liberté (Mathieu Thériault), Vaut mieux en lire (Roger Perreault), Espace science (Gabriel Lavoie) et On se fait notre cinéma (Agathe Mélançon) en sont les plus brillants exemples. Et depuis peu s’ajoute Lettre au jeune (à la) jeune moi, chronique dans laquelle nos camelots hommes et femmes s’entretiennent avec la plus jeune version d’eux et d’elles. Ces textes d’introspection et de prises de conscience sont touchants à lire. Les camelots sont d’ailleurs très enthousiastes d’y participer.
Nous sommes toujours à l’affût de ce qui pourrait vous intéresser. Les mieux placés pour nous le dire… c’est vous ! Donc, n’hésitez pas à nous écrire pour nous dire ce que vous aimez et ce que vous aimez moins dans L’Itinéraire. Faites-nous des suggestions. On vous écoute!