Il y a un peu de tout dans cette édition de L’Itinéraire. De la culture du heavy métal québécois avec Anonymus et notre Mononc’ Serge national au rôle que jouent les semenciers pour sauvegarder la biodiversité végétale, en passant par la situation souvent précaire et surtout imparfaite de l’aide alimentaire au Québec, on peut dire que c’est la diversité qui règne dans ce numéro.
Mais au-delà de ce que contient le magazine, j’aimerais surtout faire valoir, ou plutôt vanter, la participation des personnes qui ont contribué à son contenu. Bien sûr, il y a la vaillante petite équipe de la rédaction qui assure une grande partie des pages de L’Itinéraire, mais il y a aussi plusieurs bénévoles indispensables à l’accompagnement des camelots et participants. Sans elles (quatre femmes et un homme), qui se rendent dans nos locaux une ou deux fois par semaine, eh bien, je ne sais pas comment on ferait.
Marie, Christine, Nicole, Anita et Jean, (ce dernier nous quitte pour aller vivre en Europe, mais va continuer de bénévoler à distance) sont des personnes qui se sont engagées auprès de nos camelots depuis plusieurs années maintenant. Parce que ça prend vraiment un engagement pour créer un lien de confiance avec nos participants et camelots qui se dévoilent et se confient. Ces bénévoles sont devenus des amis, des confidents, pas seulement pour les camelots, aussi pour l’équipe de L’Itinéraire.
Et il faut voir aussi les bénévoles à la révision, qui reviennent à la salle de rédaction toutes les deux semaines. Paul, Lucie, Sylvie et Nicole se font une joie de se retrouver régulièrement parmi nous, mais surtout entre eux et elles. C’est le party à chaque fois ! On s’informe sur les petits-enfants des uns, on s’inquiète pour la santé de la mère de l’autre, on se raconte son dernier voyage, et en plus, on pousse la chansonnette! La fête est au village et ça met de la gaieté dans la salle. Puis, le silence tombe et on se met au boulot. On pourrait entendre voler une mouche pendant qu’ils et elles vont à la chasse aux coquilles, aux fautes de grammaire et d’orthographe dans nos pages.
Et n’oublions pas Colette, une bénévole fraîchement arrivée, à la recherche de publicité dans le magazine. Son apport est tellement important !
Soulignons également les bénévoles comme Josée Cardinal et Maude qui viennent prêter main forte à la distribution au 1er étage. Et de temps en temps, des bénévoles viennent donner un coup de main à la cuisine, à la cueillette de denrées chez Moisson Montréal.
Je ne sais pas ce qu’on ferait sans tout ce beau monde !
C’est pourquoi nous leur avons consacré une Soirée reconnaissance, le 16 mai dernier. On a également invité nos précieux partenaires qui soutiennent L’Itinéraire de diverses manières.
Par ailleurs, nous en avons profité pour faire la remise des Prix de la rédaction qui récompensent les meilleurs textes de nos participants et camelots. Voir le texte en page 13 pour tout savoir sur cette soirée et les Prix de la rédaction.
Je le répète : sans toutes ces personnes qui donnent si généreusement de leur temps et de leurs ressources, L’Itinéraire ne pourrait pas faire ce qu’il fait.
Vous venez de lire un extrait de l’édition du 1er juin 2023. Pour lire le texte intégral, procurez-vous le numéro de L’Itinéraire auprès de votre camelot ou abonnez-vous au magazine numérique.