Facebook, Twitter, Instagram ou Snapchat ne sont que quelques-uns des réseaux sociaux prisés par les jeunes enfants et adolescents. Certains d’entre eux les utilisent pour socialiser voire se créer une personnalité en ligne et y trouver de la reconnaissance. Une utilisation qui peut être à double tranchant.
« Il ne faut pas se leurrer, on parle d’entreprises privées qui suivent une logique de capitalisme communicationnel : plus on communique, plus la compagnie fait de l’argent », met en garde Maude Bonenfant, professeure au Département de communication sociale et publique de l’UQÀM.
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