Jeunesse autochtone: Un pied dans l ’avenir
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Parler de protection de la jeunesse autochtone c’est aborder des enjeux communs à toutes les communautés : violence familiale, consommation, éducation, suicide, etc. Si en 2018, la Nation Atikamekw a officialisé sa propre DPJ, pour certains, la marche est plus haute, comme pour le peuple inuit du Nunavik dont les enjeux chroniques font barrage à l’autodétermination de cette communauté.
La couleur de la mémoire
« Si la réconciliation ne se fait qu’entre les Autochtones et le gouvernement du Canada, poursuit Isabelle Picard, il y a un problème. […] la réconciliation doit impliquer tout le monde : entreprises, société civile, gouvernements (fédéral, provinciaux et municipaux), médias, musées, écoles, cégeps et universités, etc. »
Lire l'article« DPJ autochtones »: en marche vers l’autodétermination
En 2018, la Nation Atikamekw officialise sa propre DPJ : le Système d’intervention d’autorité Atikamekw (SIAA) ; du côté de Sept-Îles, les Innus d’Uashat mak mani-utenam sont en voie de voter leur propre loi sur la bienveillance et la protection de l’enfance.
Lire l'articleElle va comment la jeunesse, Kim O’Bomsawin?
Dans son dernier long métrage documentaire Ninan Auassat: Nous, les enfants, Kim O’Bomsawin nous plonge dans le monde de la jeunesse autochtone. Loin des représentations négatives, elle pose un regard nouveau voulant rendre compte de la vitalité et de la force des enfants évoluant dans les communautés.
Lire l'articleLes Îles de la Madeleine quand la visite est partie…
Une balade sur le site historique de La Grave aux Îles de la Madeleine à la fin septembre plonge dans une tout autre atmosphère que celle qu’on y retrouvait un mois plus tôt. Le 15 août, la fête des Acadiens était célébrée en grande pompe, avec le traditionnel tintamarre au cours duquel des centaines de voitures décorées aux couleurs de l’Acadie ont défilé sous les acclamations d’une foule en liesse.
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